Mes chers amis lecteurs, mes chères amies dévoreuses de bouquins. Bonne nouvelle! Anatomie d’un plan cul est enfin terminé!

Afin de vous donner envie de vous procurer mon petit dernier, laissez-moi vous décrire un petit peu ce projet littéraire. Car oui, au-delà de la nouvelle que je vous invite à découvrir, il s’agit bien d’un projet! Mais nous y reviendrons en temps voulu.

Genèse

Toutes mes précédentes créations littéraires ont été le fruit d’une réaction à un événement choquant dans mon quotidien. Société déshumanisée, répétition d’erreurs dans l’Histoire de l’être humain, handicap.

Anatomie d’un plan cul ne fait pas exception à la règle. Bien que, pour une fois, je m’autorise un traitement plus léger du problème.

Critique dévastatrice

Je ne sais pas si vous vous souvenez, mais j’avais été terriblement touchée par une critique négative sur mon roman Quand tu me prends dans tes bras, je vois la vie en Lila. Pour rappel, une blogueuse littéraire très influente avait indiqué avoir détesté mon roman car j’aborde beaaaaaauuuuuucoup trop les questions de sexualité. Chacun sa sensibilité sur ce sujet. J’ai donc respecté son avis. Mais ai pleuré toutes les larmes de mon corps. Jusqu’au jour où, ben… Finalement, je me suis dit que je veux bien respecter la blogueuse en question et son expertise en matière de littérature, mais qu’il est hors de question que je nie celle que je suis ou que je me laisse démonter par ses paroles. Pis encore, je m’offusque de constater qu’au 21ème siècle, certaines personnes semblent traumatisées par l’évocation d’une sexualité épanouie entre deux femmes consentantes. Sans vulgarité, mais avec poésie et onirisme.

Let’s talk about sex baby

Le voilà donc, mon déclencheur. Le voilà donc, cet événement qui a fait tourner, dans mon cerveau, les roues de la création et de l’imagination. Let’s talk about sex, baby, and only about sex! Voilà donc comment j’ai repris la plume (ou plus exactement le clavier).

Ma cocotte, t’aimes pas qu’on parle de cul ? Et bien je vais écrire un livre qui ne parle QUE de ça.

Parenthèse empathique

Je vous demande ici de prendre quelques secondes pour adresser toutes vos pensées compatissantes à mes parents… Je pense que mon esprit de contradiction est assez évident. Couplé cela à la bêtise de l’adolescence et vous avez un petit cocktail des plus savoureux. Ils ont, sans le moindre doute, passé quelques bonnes années en ma compagnie! Lointain souvenir…

Avec humour

Revenons à nos moutons. J’ai donc décidé d’écrire un livre sur le cul, mais qui aborde le sujet avec humour et dérision. J’ai troqué la poésie de Lila pour une humour aiguisé. Je me suis amusée à chercher les mots percutants, les tournures de phrases évocatrices, les métaphores justes. J’ai cherché à représenter les multiples situations ubuesques qu’un plan cul peut entraîner, bien malgré lui.

Parce qu’on peut rire de presque tout. Surtout quand il s’agit de décrire les mésaventures sexuelles de nos concitoyens. N’en déplaise aux bien-pensants… et à cette blogueuse littéraire que je remercie malgré tout. Après avoir pleuré de tristesse, j’ai pleuré de rire lors de la rédaction de ce livre.

Car oui, j’ai ri lors de l’écriture de ce livre. Vous l’aurez donc compris, aucune prétention de ma part, si ce n’est l’envie de m’amuser en écrivant. Et, ergo, celle de vous divertir.

J’espère donc sincèrement que vous aurez autant de plaisir à lire cette nouvelle que j’en ai eue lors de sa rédaction.

Je vous rassure cependant

«Percutant, mais sans vulgarité». Ce sont les mots qu’a utilisés ma relectrice pour décrire Anatomie d’un plan cul. Une écriture sans fioritures, drôle et directe. Et qui pourtant, malgré le sujet abordé, évite le piège de la vulgarité. Il ne s’agit donc pas de pornographie. Je vous rassure!

Votre aide

Et comme d’habitude, je compte sur vous pour m’aider à passer le mot et à faire perdurer mon rêve. Celui de partager mes livres avec le plus grand nombre. Celui de discuter avec vous, en direct ou via les plateformes numériques. Celui d’échanger.

Car de toutes mes réussites littéraires, vous compter parmi mes lecteurs est de loin la plus belle.

PS

La super photo de « moi qui me marre » a été prise par le très talentueux (et très drôle aussi, comme vous l’aurez imaginé) Sébastien Dubouchet, du studio The Cube Production.